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Pourquoi aimez vous le train electrique ?

Démarré par droz1, 23 Juin 2023 à 22:33:31

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droz1

Vous avez certainement déjà vu James May detruire des automobiles a la TV  mais c'est un amateur de Jouet en tout genre et de train électrique en particulier il avait tenté de creer le plus grand circuit en OO ( 17 miles) entre deux gare réelles dont les voies disparues sont devenue piste cyclable la première tentative s'étant terminé par la destruction des moteurs voici la seconde tentative qui ne fut pas une sinécure malgré la création d'une machine automatique a poser les rails et la participation des Allemands de Hambourg .
 

Une constatation le train miniature comme le réel a toujours une bonne image en Grande Bretagne malgré le chaos crée tout le long du parcourt

droz1

je viens de me rendre compte que j'ai oublié la suite des photos des modélistes Québecois
c'est réparé !

droz1

THE DUBOL'S RAILROAD COMPANY ou le  réseau HO de Claude bolling

Son talent de planiste lui vaut un nom célèbre auprès des amateurs de musique, de jazz en particulier, mais il est un autre domaine où sa compétence s'avère tout aussi certaine : son hobby !
Ce fort sympathique pianiste et compositeur, c'est Claude Bollïng, et son hobby, bien sûr, le chemin de fer miniature !
Coïncidence amusante : sur les pochettes de deux de ses derniers enregistrements, consacrés l'un à Irving Berlin, l'autre à des succès 1969, figurent entre autre des dessins de locomotives !   
« Je reçus mon premier « choc ferroviaire », nous dit-il très simplement, à l'âge de 15-16 ans lorsque, passant devant la vitrine illuminée d'un grand magasin de jouets, je tombai en arrêt devant un réseau Marklin richement décoré.
Cela me semblait féerique ! Les premiers trains Marklin HO que l'on voyait en France...
Je n'avais reçu jusqu'alors que des trains mécaniques tournant sur un cercle de voie. Ce fut une révélation... »
C'était juste avant la guerre. Claude Bolling habitait Nice ensuite, et c'est là qu'il commença ses études de musique. Vers la fin des hostilités, il déménagea avec ses parents, et vint habiter Paris. Là, le hasard d'une promenade le conduisit passage du Havre devant les vitrines de détaillants spécialisés de longue date dans le train miniature.
Cette vision nouvelle d'une telle diversité de trains modèles confirma une vocation longuement mûrie : Claude Bolling décida de monter son premier réseau  un Màrklin, bien entendu !
Par la suite, une rencontre avec le fabricant Ch. Vuillaume, aujourd'hui disparu, l'engagea dans le véritable modélisme. Ch. Vuillaume, rappelons-le, est le créateur, sous la marque Antal, des premières Pacific PLM construites en OO,  fameuses pour l'époque.  il vendit une de ses machines à Claude Bolling et le décida à monter lui-même sa voie à l'aide de profilé au mètre. « Le résultat ne fut pas merveilleux, nous  confie notre interlocuteur, le rail était un horrible profilé en métal gras, et les soudures que je faisais ressemblaient davantage à du ciment!... »
Un réseau réalisé à partir de matériel Fleischmann et Hornby suivit ces essais et s'agrandissait jusqu'au jour où un ami rentrant du Japon, rapporta à Claude Bolling une magnifique locomotive Mikado de Tenshodo. La finesse de réalisation de ce modèle séduisit aussitôt l'âme d'artiste de notre modéliste qui, délibérément, abandonna son réseau de style français pour en construire un de type américain. Faute de place suffisante, ce réseau fut, pour commencer, de type tramway avec les pittoresques motrices et baladeuses Suydam.
Durant son exploitation, le matériel classique américain, d'époque romantique principalement, et quelques « gros monstres », faisant contraste, qui séduisaient Claude Bolling, s'alignèrent dans les vitrines.
Aujourd'hui, grâce à sa réinstallation dans un appartement plus vaste, à la périphérie de Paris, Claude Bolling réalise son rêve : un véritable réseau américain, de 9 m sur 3,70 m en sa partie la plus large.
Par l'intermédiaire de son cab-control, Claude Bolling se permet de commander l'allumage de l'éclairage intérieur de la rame de son choix et réalise à notre gré des manœuvres plus ou moins orthodoxes, qui témoignent des larges possibilités de son montage.
Musique et électronique riment ici parfaitement et le maître de la maison joue de l'une ou de l'autre de ces techniques avec une égale compétence.

Fred_62

Impressionnant le giga tableau de commande et son câblage.  :-X
Depuis enfant, je joue aux trains.
Depuis 2012, je fais accessoirement un peu de modélisme.

LUNEL

Il faut aimer le train et la patience

droz1

Il semble que le train électrique et le jazz et des points d'affinité après Bolling c'est un autre claude  CLAUDE  LUTER  (1923-2006)
luis aussi avait un grand réseau de style Américain il me semble avoir lu que le Le rythme boogie-woogie fut inspiré par le bruit des roues
de wagons dans lesquels voyageaient plus ou moins légalement des musiciens du sud vers le nord
c'est surement cela le lien

Figue emblématique du renouveau français du style New Orleans, émule de Sidney Bechet dont il fut l'accompagnateur attitré durant sa période
européenne, clarinettiste, saxophoniste et chef d'orchestre
Mieux que nul autre, il a su conserver toute leur fraîcheur aux standards du vieux style qu'il interprète avec une flamme et une vigueur
intactes.
Clarinettiste, saxophoniste soprano pianiste et chef d'orchestre, le Français Claude Luter a conquis une durable célébrité auprès d'un vaste
public en se tenant à l'écart de tous les mouvements contestataires qui ont secoué le monde du jazz.
il fut l'accompagnateur attitré grand Sidney Bechet durant sa période européenne durant dix ans, il a réussi à s'inscrire dans l'histoire
comme un représentant majeur du style New Orléans dans la France de l'après-guerre
il avait envisagé de devenir architecte naval et était aussi un fervent amateur de modélisme ferroviaire

il a fait la une du magazine Pilote hélas je ne retrouve plus l'article que j'avais conservé

frimousselechat

Bonjour,

Pourquoi aimons nous les trains ?
En lisant ce fil je constate qu'une bonne part des amoureux du chemin de fer appartient au générations du Baby Boom.

C'est vrais que pour nous les anciens le train représente quelque chose. En premier lieu il a été le moyen de transport roi avant la vulgarisation de la voiture et l'invasion des camions. En plus il était plus attrayant du temps de la vapeur. Les voitures étaient à compartiments où les voyageurs ayant des vis à vis pouvaient faire conversation, voir faire des rencontres intéressantes. Il y avait souvent un vrais wagon restaurant. A l'heure de la soupe un employé circulait dans les couloirs une clochette à la main criant : «  premier service...deuxième service ». A cette époque il y avait de vrais marchands de jouets qui exposaient des trains dans leur vitrine, certains avaient même des petits réseaux souvent Jouef.
Que reste t'il aujourd'hui ? Le Tgv où les voyageurs roulent sans âme le nez dans leurs écrans. Le Tgv où autres trains gérés comme des compagnies aériennes. Des TER où les travailleurs s'entassent comme des sardines quand il n'y a pas gréve et des poids lourds qui polluent.
De fil en aiguille la SNCF a oublié sa notion de service public. Lignes fermées, obligation de réserver, de vagues selfs où on y mange mal plus de trains de nuit. De grève en grève le train a perdu son attrait, le fret ferroviaire à été transféré sur la route. La SNCF gérée par des financiers idiots et des syndicats absurdes s'est sabordée elle même. Il n'y a plus de marchands de jouets, la grande distribution a tout détruit et distribue du plastique chinois détruit aussi tôt. Hornby, JEP et Jouef made in France sont morts.
Alors comment dans ces conditions voulez vous que la jeunesse s'intéresse au train ?

De nos jours il est difficile d'aimer le train.

LUNEL

juste constat : la voiture prime dés qu e l on s éloigne  des grands axes Gap Marseille 3h30 en train 2 heures en voitures 

Il y a eu un plan rail  je sais pas où il en est

Hélas je ne sais pas si les enfants jouent encore au train,submergés  qu ils sont par internet et les portables



nohabdiesel

#38
Citation de: LUNEL le 28 Juin 2024 à 22:30:36juste constat : la voiture prime dés qu e l on s éloigne  des grands axes Gap Marseille 3h30 en train 2 heures en voiture

Il y a aussi eu des décisions qui partent d'une bonne intention et qui produisent l'effet inverse. J'habitais en Belgique à 80 kilomètres de Bruxelles et à 20 km de Valenciennes.Je prenais l'avion de Bruxelles à l'île Maurice. Il n'y avait pas de vol direct et je prenais Air France qui proposait des billets au départ de la gare de Bruxelles Midi. En effet, depuis plusieurs années, il n'y a plus de vols Air France entre Bruxelles et Paris, mais des liaisons directes en TGV comprises dans le prix du billet qui est d'ailleurs légèrement moins cher qu'au départ de Paris. Mais, je devais faire une heure de train de chez moi à Bruxelles pour ensuite repasser avec le TGV à quelques kilomètres de chez moi !  Et Air France n'offrait pas cette possibilité au départ de Valenciennes. Et de chez moi à Roissy il n'y a que 210 km... en voiture! Le choix est vite fait, dommage pour le train.
Jean-François
Wallon sous les tropiques    https://sites.google.com/view/letraindemaurice/accueil

droz1

c'est selon moi une des grandes vertus de notre loisir la déconnexion des soucis du quotidiens au profit de problèmes certes nombreux mais mineurs 

en SUISSE un horloger amateur de chemin de fer

D. — Monsieur Bregnard, vous êtes horloger de profession ?
R. — Eh oui, et depuis 36 ans !...
D. — Et où avez-vous appris votre métier ? Dans quelle école ?
R. — Au « Technicum » neuchàtelois, division de La Chaux-de-Fonds, puis dans une grande maison en qualité d'horloger-outilleur...
D. — N'avez-vous pas occupé longtemps une place en Italie ?
R. — C'est exact, j'ai été en Italie pendant neuf ans. J'ai fait un premier stage à Florence, puis à Naples.
D — Votre modestie vous empêche, me semble-t-il, de préciser un fait important de votre carrière.
N'avez-vous pas été horloger du roi d'Italie ?
R. — La maison qui m'occupait avait le brevet de la maison royale pour servir la Cour. C'est ainsi que j'ai été amené à contrôler régulièrement toutes les horloges de la maison royale d'Italie et à faire toutes les réparations.
D. — Avez-vous une anecdote à ce sujet ?
R. — Pas directement une anecdote, mais je puis vous dire que l'ex-roi Humbert, à l'époque prince de Piémont, avait horreur des montres à aiguilles. Il ne portait que les montres à guichets, dites à heure sautante.
D. — Quel est votre passe-temps favori ?
R. — Je collectionne les pendules anciennes, surtout des époques françaises. Et puis, je m'intéresse aux chemins de fer.
D — Ah ! vous êtes un passionné du chemin de fer ! Vous avez construit un réseau miniature ?
R. — Oui, il y a dix ans que j'ai commencé à construire un réseau, écartement 00.
D. — Vous dites commencé ? Vous ne l'avez pas encore terminé ?
R. — Non, j'y travaille encore à temps perdu. Jusqu'à maintenant, toute l'automatisation est faite sur le réseau à vapeur d'une quarantaine de mètres de longueur; il me reste à faire celle du réseau électrique, de même longueur.
J'ai un tableau de bord, qui complétera l'automation des deux réseaux. La signalisation, automatique, est calquée sur celle des Chemins de fer fédéraux suisses.
Le matériel roulant est également de type suisse, mais j'ai aussi des locomotives allemandes, italiennes et françaises.
D. — Comment avez-vous été amené à vous intéresser au chemin de fer ? Est-ce par votre métier, le goût de la petite mécanique ?
R. — Certainement, je vois dans le bricolage un délassement à mon métier qui impose une grande tension d'esprit.
D. — Et, dites-moi, que pensez-vous de l'heure et du chemin de fer ? C'est le thème sur lequel « La Vie du Rail » — l'hebdomadaire que vous connaissez bien a centré son numéro spécial...
R. — Ce sont deux choses bien distinctes.
Cependant, toutes deux sont précision et ponctualité ; il y a donc entre elles un rapport étroit sous le signe du temps.
D — Je vous remercie, Monsieur Bregnard. Je vois que, comme moi, vous estimez que l'horloger et le cheminot ont en tout cas ceci de commun : le goût et le sens de la précision et du travail bien fait.
J'ajoute que le chemin de fer, lui, ne pourra jamais se passer de l'heure... donc. d'un bon horloger.

droz1

évidement c'est le train électrique tel qu'on le rêvait dans les années 60 et 70 et cela a beaucoup vieilli    le réseau HO d'un cheminot parisien

Les laboratoires du service photographique du MT Nord sont installés en bordure des voies de sortie de la gare du Nord, quelques centaines de mètres au-delà de la petite station du pont Marcadet. Lorsque les rideaux des chambres noires sont baissés, tout le trafic extérieur y prend des résonances étranges, et le passage des grands trains y indique l'heure, aussi sûrement qu'une horloge.
Cette ambiance n'a pas entamé la passion de M. Wallon pour les chemins de fer et lorsqu'il quitte son travail après avoir manipulé toute la journée des documents ferroviaires, il retrouve chez lui, pas très loin de l'Opéra, un ravissant réseau en miniature qui est à la fois son passe-temps favori et son orgueil.
Cette construction qu'il a édifiée petit à petit depuis 4 ans, est réservée uniquement aux modèles à l'échelle du 1/87ieme le matériel roulant en a été choisi dans une demi-douzaine de marques différentes : Rivarossi, Fleischmann, Hornby, Jep, Lima, Jouef.
Il comprend, pour la traction une BB 16000, une 2D2, une CC 40 100, une 060 DA en ce qui concerne les machines françaises, puis une BB belge, une 231 allemande, un diesel américain, et enfin 3 maquettes : une 241 P, une 230 américaine, une locomotive diesel anglaise.
Évidemment, cet ensemble est complété par un nombreux matériel roulant de tout genre.
C'est pour les installations fixes, les bâtiments et les décors que M. Wallon a apporté les idées et les réalisations qui ont contribué à donner à son réseau son aspect le plus personnel.
Le support est constitué par un anneau ovale de 2 m sur 4 m. Y sont judicieusement disposés deux gares voyageurs, et une gare à marchandises, 1 triage à 7 voies, un pont routier, et enfin le classique tunnel sous son décor de montagne.
Tous ces édifices, ces signalisations sont éclairés.
Voir s'animer cette « tranche » de paysage, donne une impression très réaliste.
Wallon et son fils Patrick ont aucun mal à faire partager leur plaisir ; l'effet le plus surprenant est certainement celui qui est atteint lorsque, toutes lumières extérieures éteintes, on assiste à la vie nocturne de cette petite cité : les maisons éclairées, le paysage ponctué par les signaux, et les voies balayées par les fanaux de trains en circulation, dans le sourd frémissement de rames lancées à pleine vitesse.
LVDR Noël NEUMANN.

Fred_62

Comme quoi, même avec un ovale il est possible de réaliser quelque chose de bien.  :D
Depuis enfant, je joue aux trains.
Depuis 2012, je fais accessoirement un peu de modélisme.

droz1

Et voici un article publié dans un magazine pour la jeunesse de l'époque qui a contribué m'inciter de passer du train électrique au modélisme

FERRYLAND TOUT 86 FOIS PLUS PETIT
Si les baguettes magiques existaient ailleurs que dans les contes, l'expérience vaudrait d'être tentée... Combien mesurez-vous ? 1 mètre 29 centimètres ?
Une formule sacramentelle, un petit geste de la main et vous voilà réduit, en un instant, de 86 fois.. Regardez sur votre double décimètre : vous mesurez, main�tenant 1 centimètre et demi.
Cette toute petite taille vous permettra d'évoluer facilement dans le décor féerique de Ferryland (maquette extraordinaire réalisée par M. Mathiot dont nous parlons plus loin), de prendre place dans l'un des 800 wagons tirés par l'une de ses 150 locomotives électriques ou à vapeur, de vous mêler à des milliers de personnages en matière plastique ; l'ensemble est maintenant à vos dimensions...
Sur cette maquette exposée au Palais de la découverte à Paris, tout y est : les éclairages et la sonorisation stéréophonique, servie par 10 haut-parleurs, qui reproduisent les bruits de foule, d'arrivée et de départ des trains, les cris de la ferme, le vacarme du port, l'atmosphère de la baignade, du match de foot...
Il n'a plus maintenant qu'à surveiller son dispatching et ses jeux de lumières commandés par un cerveau électronique agissant sur 8 jeux d'orgue de 3 kilowatts chacun, qui dirigent; 25 projecteurs de différentes couleurs (bieu, orange, jaune, blanc).
Alors, vite, retrouvez votre taille. L'expérience n'a plus d'intérêt pour vous : vous pouvez la faire, tous les jours, dans la vie. Et venez avec nous, de l'autre côté de la barrière.
Vous ne perdrez aucun détail de ce petit monde au 1/86ieme

M.  GULLIVER 63  DOMINE  SON   ROYAUME
FERRYLAND1.jpg
M. Gulliver 63 s'appelle André Mathiot. Il a surgi soudain au milieu de ce qu'on aurait pu prendre pour une photographie aérienne, entre le port et les faubourgs de la ville.
— Il y a bien longtemps que je suis un collectionneur enragé, explique-t-il. Ça m'a pris tout jeune. J'ai commencé par les soldats de plomb, puis par les petits trains ; j'ai mis à peu près vingt ans pour réaliser cette installation.
Et je ne suis pas décidé à en rester là. A la Foire de Paris, au mois de mai 1962, mon réseau faisait 60 mètres de long. Au palais de la Découverte, je n'ai pu disposer que de 40 mètres. Mais je vais encore le perfectionner, et j'ai l'intention de le porter à 100 mètres pour le présenter à New York, à l'exposition internationale.
Mais c'est à la fois un passe-temps et une passion qui m'ont coûté des sommes considérables. J'ai calculé récemment que le matériel, la sonorisation en stéréo, la commande des appareils par bandes magnétiques me revenaient à 800 000 nouveaux francs. Et je ne compte pas le temps que j'y ai consacré ! »
MILLE   PETITS  DÉTAILS...
Ce fragment de l'exposition complète la partie droite de notre photo couleurs. Il révèle mille de ses petits détails que vous décèlerez encore plus sûrement à la loupe.
Pas de difficultés pour reconnaître la crique (à droite) où viennent s'ancrer les bateaux de plaisance, la circulation intense (près du château d'eau), ni le pont, le passage à niveau (en bas au centre).
Mais observez le pavillon qu'on achève de construire (à droite), au pied duquel un camion, benne levée, décharge du sable.
Un examen attentif vous montrera que rien n'a été négligé pour reproduire fidèlement la réalité, même pas une construction au toit inachevé.
DES   JOURS   DE   24   MINUTES
Toutes les vingt-quatre minutes, la nuit tombe sur la ville. Le jour perd progressivement de son éclat, pendant que les premières lumières s'allument aux lampadaires aux fenêtres des maisons.
A l'église proche, les douze coups de minuit retentissent ont été enregistrés à Saint-Augustin).
Mais le trafic ne s'arrête pas pour autant, et les trains continuent leur ronde dans là ville et la campagne endormies.
< FRANCE »   EST   DANS   LE   PORT
les wagons-citernes arrivent jusqu'aux docks où sont amarrés les cargos... Des voiliers sortent du port et on aperçoit, au loin, l'imposante silhouette du paquebot « France ».
pendant ce temps, le match France-Brésil se déroule sur le terrain de football (à gauche), sous les yeux des spectateurs massés sur les tribunes, Devant l'entrepôt de carburants (au centre), le va-et-vient des camions-citernes ne s'arrête jamais.